Divers objets domestiques – chaises, tables ou même porte-manteaux – sont transformés en instruments de musique insolites pour cette exposition spécialement conçue pour le festival.

Un échange de notes entre deux adolescentes raconte ce qui est essentiel face à un corps en transformation ainsi que l’amour et la terreur qui peuvent accompagner ce changement.

Présentant un solo pour la première fois au festival, Marlene Monteiro Freitas dévoile une chorégraphie intime au cœur d’une boîte en verre. 

Au pied de la Tour japonaise, Satoko Ichihara nous introduit à l’empereur du Japon dans une pièce de théâtre frôlant l’absurde.

Lav Diaz, l’un·e des cinéastes philippins les plus acclamé·es, nous révèle son talent de narrateur et son engagement envers la société au cœur d’une exposition et d’une performance.

Les mots de Primo Levi, survivant de l’Holocauste, résonnent dans l’hémicycle du Sénat et adressent un avertissement sur la facilité dont l’Europe a plongé dans la déshumanisation de l’autre.

Un chef d’œuvre hypnotique composé de voix et chorégraphie qui explore nos corps paradoxaux, entre le singulier et le collectif, entre la physicalité et l’éternité.

Une performance de théâtre-marionnettes dans laquelle des animaux de bronze et de pierre de différents monuments coloniaux nous dévoilent leur prochaine révolution.

Une impressionnante performance de deux heures née du dialogue entre deux personnes sur les différentes formes de précarité dans notre société.

Une performance de théâtre captivante sur la responsabilité du récit dans le contexte de la guerre de Bosnie et le siège de Sarajevo des années 90.